Ce n’est pas sale

Quand on regarde les dernières publications de DFBB on s’aperçoit vite que la rédaction a les hormones printanières qui bourgeonnent.

Et ce n’est pas sale.
Ainsi, une exposition accrue au rayonnement du soleil et à l’augmentation de la température provoque chez la femme un pic de production de lulibérine, une hormone sécrétée au niveau de l’hypothalamus et responsable du désir sexuel.
Chez l’homme, c’est simplement les tenues printanières féminines plus légères qui les émoustillent. Simple. Basique.

Donc, message à vous qui êtes nés en décembre-janvier : vos mamans étaient des grosses chaudasses au printemps.

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