Je pensais que j’avais un métier difficile : écrire tous des jours des newz pourries et pathétiques destinées à des puceaux boutonneux attardés pour 0.15€ par jour… enfin, si un jour Google veut bien m’envoyer mon putain de chèque…
Bref, je pensais que mon existence était presque aussi nulle que la tienne.
Et puis, j’ai découvert ce triste témoignage :
Il y a toujours quelqu’un qui souffre plus que nous. Pauvre homme.
Ma vie est belle comparée à la sienne.

