« Les lois sont comme les femmes, elles sont faites pour être violées« …
Non, cette phrase n’est pas de DSK mais de José Manuel Castelao Bragaña, un notable espagnol.
Et ce con balance ça le deuxième jour de son accession à la présidence du Conseil des citoyens espagnols de l’étranger.
Aussitôt dit, aussitôt viré… durée de son mandat : 5 jours !
Pour sa défense, il ose affirmer que ses déclarations ont été mal interprétées.
« euh… en fait… ce que je voulais dire et que vous avez mal interprété, c’est que les lois, c’est comme les femmes, c’est beau, c’est utile, mais des fois, il faut les contourner dans le respect pour arriver à progresser… et les enculer à sec ces salopes !!! »
octobre 9th, 2012 at 18:12
Ahah, y a des bons quand même…