«Je prends de la drogue. Elle s’appelle Charlie Sheen. On ne peut pas s’en procurer parce que si vous l’essayiez ne serait-ce qu’une fois, vous mourriez. Votre visage fondrait et vos enfants ne pourraient plus que pleurer sur votre carcasse explosée.» [Charlie Sheen – 1965 – 2011]
«Désolé si ma vie est tellement plus amusante que la vôtre.»
Synopsis :
Bruce-Farid est amoureux de Cunégonde mais elle ne le sait pas. Où plutôt elle refuse de l’admettre. Comment ne pas voir le profond tourment de Bruce-Farid, et son chagrin quotidien ? Malgré cette souffrance de l’âme, le jeune homme reste optimiste et comble les carences du scénario avec des scènes improvisées.
Mais Cunégonde porte aussi un lourd secret : toute sa famille est morte dans d’atroces souffrances et elle est dentiste. « Comment exprimer une histoire par la couleur instrumentale ? » se demande-t-elle en allumant sa centième cigarette. Et si Bruce-Farid était le père de l’héroïne, serait-ce le début d’une nouvelle relation ?
C’est beau, on dirait un vrai film français…
Un peu de calme et de délicafesse en ce mardi aussi chiant qu’un jeudi avec cette vidéo ridiculement vulgaire à but buzzique…
« … j’veux percer l’anus de Cécile de Ménibus dans le minibus façon Bang Bros… »
